" "
" "Cette journée, officialisée en 1977 par les Nations Unies, est l’occasion de souligner les efforts en matière d’égalité entre les hommes et les femmes. En hommage à toutes ces dames qui se sont battues pour que leurs filles, et les nôtres puissent vivre dans un monde d’opportunités et de liberté, le 8 mars est aussi l’occasion de se rappeler que cette égalité n’est pas encore totalement atteinte.
Oui, le 8 mars est une initiative bien noble, mais être une femme, ça se passe tous les jours. Et souvenons-nous qu’il n’y a pas qu’une forme de féminité; il n’y a pas qu’un seul rang à atteindre pour être considérée comme une Femme avec un grand F. Être une femme peut (et doit) prendre une multitude de formes, et nous devrions avoir le droit d’être le type de femme que nous voulons être. Nous (et la majorité de l’espèce humaine) avons par contre la fâcheuse habitude de remettre la clé de notre bonheur et de notre malheur dans les mains d’autrui. J’aimerais donc nous encourager à reprendre cette clé afin de la conserver bien au chaud dans notre poche.
La liberté, le respect et l’égalité doivent d’abord partir de soi, pour ensuite inspirer les autres à faire de même. Chaque jour, nous devrions être fières de nous-mêmes, assumer nos décisions, nous complimenter en nous regardant dans le miroir et nous murmurer «good job girl!» avant d’aller au lit. Chaque jour, nous devrions aussi féliciter une autre femme, lui faire un sourire, l’encourager ou tout simplement ne rien dire du tout lorsqu’elle n’agit pas comme nous l’aurions fait. Ne pas juger et accepter l’autre, c’est aussi ça être une femme.
Je suis tombé sur une citation percutante l’autre jour en parcourant mes réseaux sociaux, et je crois qu’elle dit tout : «Surround yourself with women who will drop your name in a room filled with opportunities». La première personne qui devrait respecter, encourager, accueillir, féliciter et comprendre la femme… est une autre femme. Si nous voulons vivre entièrement la vie qui nous revient, celle pour laquelle nous sommes venues au monde, nous devons tout d’abord commencer par nous reconnaître nous-mêmes. L’humain, comme tous les animaux, fonctionnement par imitation. En tant qu’être social, nous voulons être reconnus et faire partie d’un clan. Pour être acceptés dans ce clan, nous imitons, nous suivons et nous répétons. Imaginez si toutes les femmes décidaient de s’offrir ce droit d’être, tout simplement.
Devenir maman, par exemple, a été pour moi un grand cadeau, un rôle que je tenais à remplir pour me sentir femme dans mon entièreté. La maternité est l’un des plus grands symboles de la féminité, mais il ne devrait jamais réduire une femme qui fait le choix de ne pas donner la vie. Il en va de même pour la carrière, l’allaitement, la co-habitation avec le conjoint, le choix du partenaire de vie, l’éducation des enfants, etc., etc.
Il n’existe aucune règle fondamentale qui définit ce que nous devons faire ou être pour sincèrement camper notre rôle de femme. Chacune d’entre nous devrait pouvoir embrasser sa vie comme elle l’entend sans avoir à subir le regard, le jugement ou la projection de ses semblables. C’est si beau la féminité!
8 mars, Journée internationale des droits de la femme. J’en profite pour vous dire à toutes : OUI, tu as le DROIT d’être TOI.
Atterrir et prendre le temps de respirer.
Arrêter l’extérieur pour un retour aux sources qui stimule les sens et l’imaginaire, un peu comme un voyage. Un petit havre de paix aux couleurs d’ailleurs et aux parfums exotiques. Découvrez des produits aux ingrédients naturels, exclusifs et parfois magiques. Des plaisirs simples et sains et des astuces pour une vie enveloppante.
S’offrir un moment,
c’est remercier son cœur, son corps et son esprit.
Trouvailles, astuces et ambiance bien-être